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La circulaire rectorale relative aux demandes d’autorisation de cumul de rémunération a été publiée. Elle rappelle la réglementation en vigueur et précise la procédure à suivre.
Si vous êtes concerné(e), vous devez entreprendre les démarches sur colibris
Votre demande d’autorisation de cumul sera transmise pour validation à l’employeur secondaire dont vous aurez indiqué les coordonnées puis transmise à l’autorité hiérarchique (le chef d’établissement) qui la retournera au service de gestion avec son avis.
Vous recevrez ensuite l’autorisation de cumul dans l’outil colibris si celle-ci vous est accordée.
Conformément à l’article 1er -12 de l’arrêté du 9 août 2004 portant délégation de pouvoirs du ministre chargé de l'éducation aux recteurs d'académie en matière de gestion des personnels enseignants, d'éducation, d'information et d'orientation de l'enseignement du second degré, [mettre un lien avec
c’est le recteur d’académie qui a compétence pour accorder les « autorisations de cumul de rémunérations publiques et [les] autorisations de cumul d'emploi public et d'activité privée lucrative »
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Les enseignants du collège Jean Jaurès de Poissy (78) réunis ce jour par le SNFOLC jeudi 16 juin ont pris connaissance des modalités du pacte Macron/Ndiaye.
Nous considérons que ce pacte, qui s’apparente à un contrat de droit privé nous met à disposition du chef d’établissement, déroge à nos obligations réglementaires de service et menace directement de casser nos statuts et les droits qui s’y rattachent.
Le ministre veut des remplaçants ? Qu’il commence par annuler les suppressions de postes et annoncer les recrutements nécessaires plutôt que de manigancer ce pacte pour contraindre les enseignants en poste à faire les bouche-trous au pied levé ! Quel mépris pour notre enseignement !
La prétendue revalorisation annoncée avec le Pacte ne répond en rien à nos demandes et c’est peu de le dire : il s’agit de travailler plus pour gagner un peu plus (ou perdre moins !).
Et alors que le gouvernement veut nous imposer deux ans ferme avec sa « contre-réforme des retraites », l’indemnité annuelle (1250 euros) prévue par le Pacte ne compterait pas pour le calcul de nos retraites puisqu’il s’agit d’une indemnité !
Nous refusons de travailler plus pour perdre un peu moins, alors que notre charge de travail est déjà conséquente et de nous retrouver en concurrence les uns avec les autres !
Comme l’intégralité des organisations syndicales, toutes sorties du Comité ministériel du 31 mai alors que le ministre refusait de soumettre les décrets sur le Pacte au vote, nous demandons :
- L’abandon immédiat et le retrait du N’Diaye puisqu’il ne vise qu’à nous diviser, à s’en prendre à notre statut et au fonctionnement de l’Ecole publique !
- L’augmentation immédiate et sans contrepartie de la valeur du point d’indice de 10 à hauteur de l’inflation, bien supérieure à l’aumône de 1.5% que le gouvernement vient de nous annoncer
La rentrée 2023 s’annonce catastrophique. Nous venons d’apprendre que notre dotation en moyens de surveillance s’annonçait à la baisse. Nous demandons donc :
- le maintien de notre dotation et 3 ETP supplémentaires : des moyens et des postes, pas des gilets orange !
- Le maintien de toutes nos heures, tous nos postes et toutes nos classes : rétablissement des 97 heures supprimées dans la DGH
Nous demandons toujours le retrait de la réforme des retraites.
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